10 - DES COALITIONS et des GUERRES - 1789-1815

 

LA SEPTIEME COALITION - 1815

 

La septième coalition est formée en toute hâte en 1815 après le retour de Napoléon Ier et avant son entrée à Paris. Le 13 mars, six jours avant que Napoléon n’atteigne la capitale, les puissances au Congrès de Vienne le déclarent hors-la-loi. Quatre jours plus tard le Royaume-Uni, l'Empire russe, l'Empire d'Autriche et le Royaume de Prusse parviennent à mobiliser 150 000 hommes pour mettre fin à sa présence à la tête de la France.

Les membres de la septième coalition sont : le Royaume-Uni, la Russie, la Prusse, la Suède, l'Autriche, les Pays-Bas et un certaterlain nombre d'Etats allemands.    .

Chronologie

Article détaillé : Cent-Jours.

Après l’échec des tentatives de dissuader au moins un des alliés d’envahir la France, Napoléon sait que sa seule chance de réussite est d'attaquer avant que la coalition n’assemble une force écrasante. S'il peut détruire les forces présentes en Belgique avant qu'elles ne soient renforcées par des contingents d'autres alliés, il sera capable de repousser les Britanniques à la mer et bouter les Prussiens hors de la guerre. C'est une stratégie déjà utilisée avec succès plusieurs fois auparavant.

Les batailles principales de la septième coalition furent celles de Ligny (16 juin), des Quatre-Bras (16 juin), de Wavre (18 et 19 juin) et de Waterloo (18 juin).

La bataille de Waterloo s'est déroulée le 18 juin 1815. Elle s'est terminée par la victoire décisive de deux armées : celle des alliés, commandée par le duc de Wellington, composée de Britanniques, d'Allemands (contingents du Hanovre, du Brunswick, du Nassau) et de Néerlandais (unités belges et hollandaises) et celle des Prussiens, commandée par le maréchal Blücher ; toutes deux opposées à l'armée française dite Armée du Nord emmenée par l'empereur Napoléon Ier.

La commune de Waterloo se situe à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles, en Belgique. Toutefois, les combats n'eurent pas lieu à Waterloo mais un peu plus au sud, sur le territoire des communes actuelles de Lasne et de Braine-l'Alleud. La bataille a souvent été appelée en France « bataille de Mont Saint-Jean », lieu plus précis de l'engagement effectif[2]. En Allemagne, elle est appelée « bataille de la Belle-Alliance".

Cette bataille est la dernière à laquelle prit part personnellement Napoléon, qui avait repris le contrôle de la France durant la période dite des Cent-Jours. Malgré son désir de poursuivre la lutte avec de nouvelles forces qui se reconstituaient, il dut, par manque de soutien politique, abdiquer quatre jours après son retour à Paris.

Le 16 juin, sur le champ de bataille de Ligny, les Français sous les ordres de Napoléon mettent les Prussiens dans la confusion. Dans une action séparée, aux Quatre-Bras le même jour, l'aile gauche de l'armée française, commandée par le maréchal Ney, bloque l'armée britannico-alliée venant à l'aide des Prussiens qui se battent à Ligny. Le 18 juin, l'engagement décisif de la campagne a lieu à Waterloo. Durant toute la journée, sous les ordres de Napoléon, l’armée française légèrement supérieure en nombre attaque l'armée britannico-alliée placée sur le haut d'un escarpement. Vers la fin de l'après-midi, l'arrivée des Prussiens et non pas des troupes du maréchal Grouchy donne une victoire décisive aux alliés.

Le traité de Paris et la signature de la Quadruple-Alliance mettent fin à la septième coalition.   

PS_ Ces écrits ont trouvé leurs origines sur les sites du net et plus particulièrement sur celui de Wikipédia où vous pourrez y trouver davantage de précisions.

Le webmaster : Guy WINGERTSMANN                                                                      Commando de chasse 1

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Date de dernière mise à jour : 12/11/2022

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