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L'AIT ou l'AVC
Alerte AIT vécue
ALERTES d’un AVC ou d’un AIT Chers Amis, J’aimerai vous entretenir d’une mesure de précaution à prendre, qui peut s’avérer très utile par le fait de l’avancement en âge de chacun.
On a l’habitude de dire que les problèmes sont surtout pour les autres, comme si nous en étions a l’abri par une déduction sans fondement, bien personnelle. D’où cette sensation de très grande inquiétude et de fébrilité pour vous-même et vôtre entourage lorsque survient la mauvaise surprise de l’impensable.
Je veux vous parler d’alertes d’un AVC (accident vasculaire cérébral) ou d’un AIT (Accident ischémique transitoire) J’ai été victime d’un AIT, moins grave qu’un AVC, mais dont les symptômes au début sont similaires.
Pour mieux vous faire entrevoir cette nécessité je vais vous relater mon expérience :
« Le mercredi, j’avais eu une alerte dans la matinée par trois petites pertes d’équilibre. J’ai mis cela sur le compte d’une baisse de tension (120/60). L’après-midi, lors d’une conversation téléphonique, j’ai soudainement eu des problèmes d’élocution d’une quinzaine de secondes. Impossibilité d’articuler et difficulté de reprendre le contrôle comme si j‘avis abusé du pastis. d’avoir ressenti en même temps une faiblesse au niveau des mollets avec un léger fourmillement. C’est ce qu’on appelle une alerte
Le lendemain une deuxième alerte. Une jambe que j’avais du mal à contrôler suivi d’une sensation de faiblesse dans le bas des jambes. En commençant à m’adresser à un voisin, j’ai subitement éprouvé à nouveau ce problème d’élocution. Donc dans ces circonstances il n’y avait plus à hésiter, j’ai appelé le 15 des pompiers pour m’emmener aux urgences. Dans l’attente, j’ai avalé une aspirine de manière à liquéfier le sang afin de limiter la formation de caillots.
J’ai aussitôt pensé à un AVC suite à une douloureuse expérience vécu par ma mère qui est restée hémiplégique qui, elle, avait fait un AVC. Au lieu d’appeler le 15, elle s’est allongée pensant à une faiblesse passagère. Au lu des symptômes décrits, j’ai pris un très grand risque de ne pas avoir appelé le 15 à la première alerte de la veille du fait de gravité que cela présageait.
Je me permets de vous relater ceci car PERSONNE n’est à l’abri d’une telle mésaventure. On est tous de « la classe », les quatre-vingt ans bien tassés. Aussi, si la carrosserie paraît encore acceptable, les années ont fait leurs œuvres à l’intérieur. Autant terminer une vie dans de bonnes conditions pour soi et ses proches que comme un légume
En revivant cette alerte, j’en ai déduit des bonnes décisions à prendre pour ne pas paniquer Il faut garder à l’esprit les bons réflexes :
La première heure est la plus déterminante et peux vous éviter, en cas d’AVC, des séquelles telle une hémiplégie. Alors pas d’hésitation. Ainsi le médecin pourra intervenir plus rapidement pour éliminer le caillot. Ce sont les bons réflexes que les médecins m’ont félicité d’avoir eus, à part l’attente de la deuxième alerte.
En ce qui me concerne les deux alertes AVC, ont été des alertes de AIT. Pour simplifier, cela était dû à des petites emboles qui encombraient le flux sanguin cérébral et qui se diluaient rapidement. Mais si les caillots avaient été plus gros, c’était l’AVC annoncé. Je suis resté une semaine à l’hôpital pour passer un tas d’examens :
Après un liquéfiant sanguin injecté aux urgences, puis des investigations neuronales et vasculaires.
Tout est pour le mieux à présent et je ne ressens aucune séquelle. La rémission demande entre deux à six mois. Je vous recommande de lire toute la documentation que je vous fais parvenir en pièces jointes souhaitant de ne pas avoir à l’appliquer. Mais si, au cas, cela pouvait empêcher que l’un d’entre nous puisse se tirer de ce mauvais pas en cas de besoin, cela aura servi à quelque chose.
Amicalement. Le Webmaster Guy WINGERTSMANN (Loulou)
PS - Voir les documents suivants à titre d'informations. Procédures et conseils. |
Date de dernière mise à jour : 27/02/2023
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